Chef/fe d'orchestre

Alfred Eschwé

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Retour au Gärtnerplatztheater

Après y avoir fait ses débuts dans Der Wildschütz de Lortzing il y a quelque s années, Alfred Eschwé se réjouit de retourner au Gärtnerplatztheater de Munich pour y diriger Die lustigen Weiber von Windsor de Nicolaï.

Représentations les 31 mai et 2 juin 2024.

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25.04.24

Bonne année!

Alfred Eschwé est certes un grand chef d'orchestre capable d’aborder au plus haut niveau d’expertise n’importe quelle oeuvre du répertoire à l’opéra ou au concert, son nom n’en reste pas moins étroitement lié au faste musical du Nouvel An.

Le chef d’orchestre d’origine viennoise sait en effet mieux que quiconque concevoir le programme d'un concert du Nouvel An en sachant trouver le juste équilibre entre œuvres du répertoire standard et petits bijoux méconnus. Non seulement, il dirige par coeur ce genre de concert, aime à présenter (par coeur) le déroulé du programme au public et, en plus de combler musicalement celui-ci, il sait aussi le faire rire. Un concert du Nouvel An avec Alfred Eschwé, c’est la garantie d'une entrée réussie et joyeuse dans la nouvelle année, et il le prouve une fois de plus en 2024 à la tête du remarquable Tonkünstler Orchester Niederösterreich.

Avec Alfred Eschwé, l'ambiance du Nouvel An se prolongera même au-delà de janvier puisqu'il dirigera en mars une nouvelle production de La Chauve-Souris à l'Opéra national de Bergen (Norvège) avant de retrouver en mai le WDR Funkhausorchester dans un programme "Alles Walzer!“.

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Enfin de retour à l’Opéra de Cologne!

Alors qu’Alfred Eschwé et l’Orchestre Gürzenich poursuivaient une collaboration aussi intense qu’heureuse, la pandémie est venue interrompre brutalement cette dynamique. Des projets calés de longue date, comprenant de longues séries de représentations, tels que La chauve-souris ou encore Roussalka, ont dû être complètement annulés. En contrepartie, maigre consolation, quelques représentations de La flûte enchantée purent être programmés à brève échéance au cours de l’automne 2020. Dans ce contexte, il est particulièrement réjouissant qu’Alfred Eschwé ait pu se rendre disponible pour assurer la direction musicale d’une série complète de Carmen qui débutera à l’Opéra de Cologne le 6 mai 2022.

Le chef-d’oeuvre de Bizet est depuis longtemps au coeur du répertoire d’Alfred Eschwé. Il a dirigé Carmen au Staatsoper de Hambourg, au Volksoper de Vienne et au Festival de St. Margarethen (Autriche).

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26.04.22

Un Concert du Nouvel An inédit

A circonstances exceptionnelles, solutions exceptionnelles. Pendant 23 ans, Alfred Eschwé a conçu le concert du Nouvel An du Tonkünstler-Orchester et il a dirigé et présenté un nombre incalculable de concerts de Nouvel An dans un grand nombre de villes au quatre coins du monde. Cette saison, le Covid-19 a voulu étouffer les célébrations en musique du changement d’année mais on ne renonce pas si facilement à des traditions bien ancrées dans les esprits! Ainsi, le programme 2021 prévu et preparé pour le Festspielhaus de St. Pölten fut donné sans public mais face aux caméras de télévision. Une solution alternative consolatrice pour nous tous qui sommes condamnés à rester à la maison en temps de confinement.

D’une prévoyante sagesse, les Tonkünstler avaient, par ailleurs, enregistré l’année dernière un programme de Nouvel An, sous la direction d’Alfred Eschwé bien sûr. Le CD est désormais disponible et comprend, outre les incontournables Strauß, Lehár et Suppé, des oeuvres de Dvorák, Gounod, Elgar et Lumbye. Un avant-goût de ces deux concerts du Nouvel An enregistrés se trouve à la page Audio Clips de notre site Internet. Lien 

L’Opéra de Cologne nous enchante à nouveau

Après des mois de rideau clos pour les raisons que nous connaissons, l’Opéra de Cologne redémarre le 3 octobre 2020 avec une remarquable production de La flûte enchantée mise en scène par le légendaire homme de théâtre Michael Hampe, qui fut pendant 20 ans intendant de l’Opéra de Cologne.

Pour cette longue série de représentations, l’Opéra de Cologne a opté pour plusieurs distributions et pour une alternance de deux chefs d’orchestre. Alfred Eschwé est à la baguette dans cette oeuvre avec laquelle il fit ses débuts au Wiener Staatsoper en 2003 et qu’il a entre-temps dirigée, au Staatsoper de Hambourg, au New National Opera à Tokyo, entre autres.

Plus d’infos sur la production à l’Opéra de Cologne

Redémarrage à Copenhague pour l’anniversaire de Tivoli

En 1843, suite à un cadeau du roi du Danemark, Christian VIII, un terrain situé sur d’anciennes fortifications de Copenhague est transformé en un des tous premiers parcs d’attraction du monde. Le ”Kjobenhavns Tivoli” est inauguré le 15 août de cette même année. Depuis, cette date fait chaque année l’objet d’une fête à Tivoli. En 2020, on ne fêtera pas seulement l’inauguration de ce grand parc d’attraction, on fêtera également le retour de la musique en concert après les mois de fermeture provoqués par le virus.

Alfred Eschwé fêtera à cette occasion lui aussi son retour sur scène après des mois de privation. Il sera à la tête de l’Orchestre philharmonique de Copenhague dans un programme plein d’élan, parsemé de raretés danoises. Bo Skovhus, star de l’opéra d’origine danoise, ainsi que la soprano russe Yana Kleyn, seront les solistes de ce programme qui sera donné deux fois dans la journée.

Maestro Eschwé n’est pas resté inactif pendant le Lock-Down. Il a en particulier imaginé un Donauwalzer@home avec son fidèle Orchestre du Volksoper de Vienne.

Une oeuvre délicate

Bien que l’opérette de Strauß, Le Baron Tsigane, soit un véritable chef-d’oeuvre du genre, le sujet et  l’argument en font une oeuvre particulièrement délicate à mettre en scène.  Délicat de bien traiter un folklore aux accents belliqueux, plus délicat encore tous les clichés sur la „vie tsigane“, qu’il serait déplacé aujourd’hui de qualifier en ces termes. Il n’en reste pas moins que le Volksoper de Vienne et le metteur en scène Peter Lund ont choisi de présenter une nouvelle production de cette oeuvre dont nous ne doutons pas qu’elle saura lui donner tout son éclat. Alfred Eschwé, grand connaisseur de l’oeuvre de Johann Strauß, est le chef d’orchestre tout désigné pour relever le défi. Il a en effet déjà dirigé en sa Maison viennoise tous les grands classiques lyriques du maître de la valse. Dans la foulée de la Première du Baron Tsigane à Vienne, il ira à Cologne assurer la reprise de La Chauve-souris.

Oeuvre vocalement exigeante, Le Baron Tsigane requiert la crème de la crème des forces de la troupe du Volksoper. C’est ainsi que Kristiane Kaiser y fera ses débuts dans le rôle de Saffi.

Première le 29 février 2020. Représentations jusqu’en avril dans des distributions alternées.
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Extrait de presse:
„Gros compliment à Alfred Eschwé et à l’orchestre du Volksoper: c’est exactement avec cet élan qu’il faut jouer Strauß“.
(MDA/Falter 04.03.2020)

Wagner pour commencer la saison

Outre les représentations du répertoire standard, c’est un défi particulier qui attend Alfred Eschwé dans le théâtre viennois où il est à la maison, le Volksoper. Ce n’est en effet certes pas la première fois qu’il dirigera Wagner, mais c’est la première fois qu’il dirigera Wagner à Vienne! Et ce sera dans Le vaisseau fantôme, une oeuvre qu’il a eu l’occasion d’aborder il y a longtemps déjà lorsqu’il débutait dans la carrière.

Ce Vaisseau fantôme au Volksoper sera présenté dans la version „ballade“ souhaitée par le compositeur, c’est à dire d’un seul tenant et sans pause. Senta sera incarnée par Kristiane Kaiser qui avait triomphé dans ce rôle lors de la Première, la saison passée. Si presque tous les rôles sont en double distribution, Alfred Eschwé assurera quant à lui toutes les représentations les 22, 25, 28 septembre, 2, 8 et 12 octobre 2019.

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Fin de saison italienne

Après une longue série de Traviata au Volksoper de Vienne en juin, Alfred Eschwé termine sa saison opératique avec une série de Tosca à l’Opéra de Cologne. Le plateau  du thriller vériste de Puccini sera composé de Adina Aaron, José Cura et Samuel Youn dans une haletante mise en scène à la Statenhaus. Reprise le 30 juin, représentations suivantes les 2, 5, 11 et 14 juillet 2019.

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Harmonies printanières au Musikverein

La grande salle du Musikverein de Vienne n’est pas seulement un lieu idéal pour rendre hommage, le Jour de l’An, aux travaux d’orfèvre des frères Strauß. L’Orchestre Johann Strauß de Vienne s’y produit en effet tout au long de la saison et le Concert de Printemps fait partie de ses rendez-vous rituels. Il aura lieu le 1er mai 2019 en matinée (11h) et sera placé sous la haute autorité musicale d’Alfred Eschwé.

L’Orchestre Johann Strauß de Vienne a pour tradition de respecter la nomenclature d’orchestre de l’époque de la création de l’oeuvre et accorde une importance primordiale à l’interprétation historiquement informée. Si la première partie du concert est consacrée à l’oeuvre exaltée de Josef Strauß, la deuxième partie sera exclusivement consacrée aux oeuvres du maître de la valse, Johann Strauß II. Alfred Eschwé, chef d’orchestre ô combien polyvalent, est aussi l’instance évidente et toute désignée pour diriger ce genre de programme.

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En chambre séparée

Si le traditionnel bal annuel de l’Opéra de Vienne vient d’avoir lieu, celui du Volksoper est programmé pour le 17 février puis sera repris à dix reprises jusqu’à fin mars! Nous voulons parler ici de l'opérette qui fit la gloire de Richard Heuberger avec son célèbre air „Im Chambre séparée“. L’âge d’or de l’opérette viennoise, dominé par Franz von Suppé, Johann Strauß et Carl Millöcker connut en 1898, lors de la création de Der Opernball de Heuberger, un éclairage particulier.

Les opérettes de l’âge d’or présentées par le Volksoper de Vienne sont en général confiées aux mains expertes d’Alfred Eschwé, bien que son répertoire lyrique aille bien au delà et que son étendue soit à peu près sans concurrence. Dans le cas de Der Opernball, il est absolument indispensable d’avoir un grand maître à la baguette car l’orchestre est, dès la célèbre ouverture, soumis à rude épreuve. Eschwé a étudié toutes les valses, mazurkas, galops, cotillons avec le parfum et l’esprit français qui s’imposent, et peu importe que le décor parisien de la version originale soit transposé ici dans un faubourg viennois.

La distribution de la Première est emmenée par Kristiane Kaiser dans le rôle d’Angelika Wimmer (Angèle Aubier dans la version originale) qui assurera par ailleurs les représentations des 23 février, 4, 7, 11 et 18 mars 2018.

Pour accéder à un extrait de l’Ouverture de Der Opernball, cliquer ici.

Pour plus d’informations concernant cette nouvelle production du Volksoper de Vienne, cliquer ici.

Dans le fleuve de feu des sarments

Pour conclure l’année écoulée et en prélude à la nouvelle, la musique de Johann Strauß est universellement convoquée pour accompagner l’humeur „Champagne“. On est donc en haute saison pour le spécialiste de Strauß, Alfred Eschwé! Dans la foulée de ses débuts à l’Opéra de Cologne en décembre dernier, il dirigeait un concert de Noël au Volksoper de Vienne (autrement dit à la maison), avant de retrouver le Tonkünstler-Orchester Niederösterreich pour la traditionnelle série de concerts du Nouvel An. Là encore, les mélodies d’opérette, les valses, les polkas et les quadrilles du Roi de la valse étaient au coeur du programme.

L’ambassadeur du Roi de la valse, Alfred Eschwé, poursuit sa tournée en Extrême-Orient pour diriger au New National Theatre de Tokyo une reprise de la production de La Chauve-souris avec laquelle il avait déjà fait fureur en 2015. Il retrouve à ses côtés des solistes du Wiener Staatsoper et du Wiener Volksoper qu’il cotoie depuis de nombreuses années.

Informations sur la production du New National Theater de Tokyo link

Un véritable opéra populaire

Alexander Borodin a passé des décennies à travailler à son opéra Le Prince Igor et il est resté inachevé. C’est grâce à l’engagement de confrères compositeurs que l’unique opéra de Borodin put voir le jour sur scène, après sa mort.

Le Volksoper de Vienne est complètement dans sa vocation en présentant une telle oeuvre et il se lance dans la tâche sisyphienne d’en faire une version traduite en allemand. Tout théâtre qui relève ce défi se doit tout d’abord d’établr une version à partir des sources existantes, innombrables, pour en faire une version „viable“. Il ne fait aucun doute qu’Alfred Eschwé, directeur musical de cette nouvelle production, sera à la hauteur des attentes.

Avec cette nouvelle production, Eschwé fête un jubilé: il y a 25 ans, il dirigeait au Volksoper de Vienne sa toute première „Première“, et déjà dans le répertoire russe: Eugène Onéguine dans une mise en scène d’Harry Kupfer.

Le Prince Igor sera mis en scène par Thomas Schulte-Michels. Alfred Eschwé dirigera la Première le 19 mars puis les représentations des 22 mars, 4, 10, 13, 18, 20 et 24 avril 2016. On peut écouter les danses populaires polovtsiennes de cette dirigées par Alfred Eschwé sur la page Audio-Clips

Champagne!

Lorsque la fin de l’année s’annonce, les salles de répétition de la plupart des orchestres se remplissent d’harmonies aux rythmes ternaires et de galops endiablés. L’ambiance est à la légèreté des bulles de champagne. A cette époque de l’année, Alfred Eschwé, expert connu et reconnu de la musique de Strauß & Co., est à son affaire. A la tête du Tonkünstler Niederösterreich , il dirigera un concert du Nouvel An au Musikverein de Vienne, au Festspielhaus de St Pölten et en tournée dans de nombreuses villes de la Basse Autriche.

Si Eschwé a choisi d’intégrer au programme cette année, entre de brillantes musiques de Suppé, Strauß et Lehár, des danses populaires russes, c’est parce qu’il dirigera dans quelques semaines au Volksoper de Vienne une nouvelle production  du Prince Igor d’Alexander Borodin, chef d’oeuvre qu’il aborde pour la première fois de sa carrière. Les danses polovstiennes de cet opéra seront ainsi partie intégrante du programme du Nouvel An, aux côtés d’oeuvres de Chostakovitch et de Rubinstein. Et en guise d’apéritif à ce programme festif, voici un furieux galop de Khatchaturian dirigé par Alfred Eschwé bien sûr. 

Débuts à la tête de la “Harpe Magique” de Dresde

C’est un moment magique dans la vie d’un chef d’orchestre de pouvoir se trouver à la tête de la Staatskapelle de Dresde. Richard Wagner avait surnommé cette phalange, une des plus anciennes formations symphoniques du monde du haut de ses 450 années d’existence, la “Harpe Magique” royale. Alfred Eschwé se voit confier une oeuvre du répertoire allemande, présentée dans le cadre d’une nouvelle production de surcroit.

Ainsi dirigera t-il le 10 octobre 2015, au Semperoper de Dresde, la Première de l’opéra comique d’Albert Lotzing, Der Wildschütz (Le braconnier). Eschwé a déjà connu un grand succès avec cette oeuvre lorsque celle-ci fut présentée à Vienne sous sa baguette en 2013. L’opéra comique allemand étant de nos jours négligé par la plupart des maisons d’opéra, il est indispensable de pouvoir disposer d’un chef d’orchestre tel qu’Alfred Eschwé qui ait une connaissance approfondie de l’oeuvre et soit capable de mettre en valeur toute sa richesse musicale.

Toutes les informations sur cette nouvelle production à Dresde

Valse et polka en Extrême-Orient

Le début de l’année est toujours une saison chargée pour la famille Strauß en général et pour La Chauve-Souris en particulier. L’œuvre emblématique du théâtre de divertissement en Europe Centrale s’exporte à l’autre bout du monde. Quand le New National Theater de Tokyo décide de produire une opérette, il s’assure de la collaboration des meilleurs. Alexandra Reinprecht (Rosalinda), Adrian Eröd (Eisenstein), Klemens Sander (Falke) et Boris Eder (Frosch) sont en effet des spécialistes du genre sur les berges du Danube. Et, last but not least, Alfred Eschwé assure la direction musicale avec son inépuisable énergie et sa profonde culture musicale. Se fatiguera t-il un jour des valses, polkas et galops du roi de la valse? Sûrement pas !  C’est pour lui une éternelle fontaine de jouvence.

Dates de représentation de La Chauve-Souris à Tokyo: 29 janvier, 1er*, 4*, 6 et 8* février 2015 (*présentations de l’après-midi à 14 heures). Link

Vous trouverez des œuvres de Strauß, Millöcker et Suppé à la page « audio clips » d’Alfred Eschwé disponible sur notre site Internet. Link

Quand le maître arrive

Alfred Eschwé est réputé être l’un des chefs d’orchestres les mieux qualifiés pour diriger le répertoire du roi de la valse viennoise, Johann Strauß. Certes il dirige bien sûr régulièrement des répertoires très variés aux quatre coins de l'Europe, mais il n'en reste pas moins qu'il est avant tout reconnu comme un maître dans l’interprétation de Strauß. C’est à ce titre que l’Opéra national de Finlande à Helsinki lui a confié la direction musicale de sa nouvelle production de La chauve-souris, l’une des opérettes les plus célèbres du répertoire. Marco Arturo Marelli assurera la mise en scène avec une brochette de solistes de réputation internationale tels que Alexandra Reinprecht, Michael Kraus, Claudia Göbl et Alexandru Badea. La première aura lieu le 28 novembre 2014. Représentations suivantes les 4, 8, 10, 17 et 19 décembre 2014.

Le Danube – De la musique le long du fleuve bleu

Avec sa valse "Le beau Danube bleu", Johann Strauß nous a laissé une oeuvre ô combien populaire qui offre à la fois une image musicale de l’Europe Centrale et un deuxième hymne à l’Autriche. Pourtant, cette valse n’est qu’une oeuvre parmi la multitude de celles qu’ont pu inspirer les méandres danubiens sur un parcours de près de 2900 km, de Donaueschingen à la Mer Noire. 

Alfred Eschwé, invité régulier de l’Orchestre de la WDR à Cologne, a imaginé un programme de concert qui fait chanter le fleuve "bleu" au fil des dix pays qui le bordent. Fidèle à une tradition orale qu’il a instaurée lors de ses différents voyages autour du monde, Alfred Eschwé présente lui-même le programme au public. Mais le Maestro autrichien sait aussi diriger autre chose que ce genre de programme, ce qu'il démontre avec brio au Staatsoper de Hambourg dont il est régulièrement chef invité depuis 15 ans. Et il s’avère aussi convaincant de professionnalisme sur l’Alster que sur le Danube !

Première au Volksoper

Le Volksoper de Vienne présente une nouvelle mise en scène de l'opéra légère - et pourtant magistral - "Der Wildschütz" de Lortzing.